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         Laguerre Edmond:     more detail
  1. Recherches Sur La Geometrie De Direction (1885) (French Edition) by Edmond Nicolas Laguerre, 2010-09-10
  2. Recherches Sur La Géométrie De Direction: Méthodes De Transformation : Anticaustiques (French Edition) by Edmond Nicolas Laguerre, 2010-03-25
  3. Théorie Des Équations Numériques (French Edition) by Edmond Nicolas Laguerre, 2009-12-31
  4. Euvres De Laguerre (French Edition) by Edmond Nicolas Laguerre, Académie des Sciences, 2010-01-12
  5. Oeuvres de Laguerre, Vol. 1 (French Edition) by Edmond Nicolas Laguerre, 2006-09-13
  6. Euvres de Laguerre vol. 2 of 2 (French Edition) by Edmond Nicolas Laguerre, 2010-09-20
  7. Recherches sur la géométrie de direction: méthodes de transformation; anticaustiques (French Edition) by Edmond Nicolas Laguerre, 1885-01-01
  8. Recherches Sur La Geometrie De Direction (1885) (French Edition) by Edmond Nicolas Laguerre, 2010-09-10

61. Citations - Une Mine De Citations Sur Internet! Maximes Citation Dicton Proverbe
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Citation auteur Edmond Rostand La guerre, désormais, ce n'est plus la conquête, Mais c'est le droit que l'on défend ! Chambres d'hotes webrankinfo Annuaire généraliste Deepindex ... Marmhote.com

62. Jean Baptiste Nicolas Augustin Edmond NIVOIT (1839-1920)
la guerre,
http://www.annales.org/archives/x/nivoit.html
Jean Baptiste Nicolas Augustin Edmond NIVOIT (1839-1920)
Polytechnique (promotion 1859), Ecole des Mines de Paris. Corps des mines Fils de Jean-Baptiste NIVOIT, marchand de fer, et de Jeanne Marie Adèle BUFFET.
Edmond NIVOIT épousa Marie MALÉZIEUX (1853-1924), fille de Emile MALÉZIEUX (1822-1885 ; X 1841 corps de ponts et chaussées) et soeur de Henri MALÉZIEUX (commandant d'infanterie tué en 1915).
Marguerite, fille d'Edmond NIVOIT, épousa Albert LEBRUN en 1902.
PAROLES PRONONCÉES AUX OBSEQUES DE M. EDMOND NIV0IT
INSPECTEUR GENERAL DES MINES
ANCIEN DIRECTEUR DE L'ÉCOLE SUPERIEURE DES MINES
le 5 mai 1920
Par M. CHESNEAU , Directeur de l'École des Mines.
Publié dans Annales des Mines , tome X, 1920 MESSIEURS, An nom de l'École nationale supérieure des Mines, je viens apporter un suprême témoignage d'affectueux respect à son ancien directeur, M. Edmond Nivoit, dont nous pleurons tous la perte douloureuse Qu'il me soit permis de rappeler ici brièvement la belle carrière scientifique du fonctionnaire modèle, dont la dernière étape administrative a été la direction de l'École, ou il avait puisé lui-même, à ses débuts, un haut enseignement et des traditions de droiture et d'honneur, patrimoine sacré dont la France a recueilli les fruits inappréciables dans les jours sombres ou glorieux de la grande guerre. Edmont Nivoit est né le 12 aout 1839, à Buzancy, dans les Ardennnes. L'école polytechnique lui a ouvert ses portes en 1859, et il entrait deux ans après comme élève-ingenieur à l'Ecole des Mines, d'ou il sortait le 1er janvier 1865 comme ingénieur au corps des mines, pour être chargé du sous-arrondissement minéralogique de Mézières, dans son pays d'origine, dont il était profondément épris, et qu'il allait pouvoir ainsi étudier en savant, avec l'enthousiasme d'un fils pour des parents dont il est fier.

63. Jacques Antoine Charles Amélie Edmond AUDIBERT-ROZE (1820-1873)

http://www.annales.org/archives/x/audibert.html
Jacques Antoine Charles Amélie Edmond AUDIBERT-ROZE (1820-1873)
Publié dans le LIVRE DU CENTENAIRE (Ecole Polytechnique), 1897, Gauthier-Villars et fils, TOME III Né à Bordeaux en 1820, mort à Paris le 31 mai 1878. Promotion 1837 de Polytechnique, ingénieur au corps des mines . Sa vie tout entière depuis 1846 s'est passée à côté de Talabot dans l'exploitation de ce réseau qui, successivement accru, est devenu le réseau Paris-Lyon-Méditerranée. Toutefois, en 1848, la ligne d'Avignon à Marseille ayant été mise sous séquestre, Audibert dut se retirer nominalement de son service, qu'il continua toujours, en fait, à suivre et conseiller, pour prendre de 1848 à 1851 la direction des mines de la Grand-Combe. Les souvenirs laissés par Audibert sur le réseau Paris-Lyon-Méditerranée peuvent être comparés à ceux laissés par Sauvage Citation du catalogue de La Famille Polytechnicienne : Ingénieur des Mines (1842), il débute sa carrière dans les chemins de fer aux côtés de Talabot (1845), et aide ce dernier dans l'exploitation et l'achèvement du réseau du Gard. Après l'avoir envoyé perfectionner ses connaissances techniques à l'école de Robert Stephenson (en Angleterre), Talabot le charge de l'exploitation de la ligne Marseille-Avignon. Celle-ci est ouverte à la circulation en 1848, mais mise sous séquestre pour des raisons financières (1848-51), ce qui oblige Audibert à se retirer nominalement de son service, qu'il continue toujours à suivre et conseiller. Il prend la direction générale des mines de Grand-Combe. Directeur de l'exploitation du chemin de fer Lyon-Méditerranée, puis de la compagnie ferroviaire Paris-Lyon-Méditerranée (1857), il organise le transport des troupes vers l'Italie (1859)

64. Maurice Edmond Sailland Dit Curnonsky
la guerre et y rédige une partie de sessouvenirs. Maurice edmond Saillant Curnonsky Prince élu des gastronomes
http://www.chefsimon.com/cel10.htm
MAURICE EDMOND SAILLAND dit CURNONSKY
Il nait à Angers en 1872, sa mère en meurt et son père l'abandonne. Il sera donc élevé par sa grand-mère. A 18 ans il monte à Paris pour préparer Normale Supérieure mais il est attiré par le journalisme. IL veut se trouver un pseudo et l'amitié franco-russe étant au gout du jour, il choisi Curnonsky, de "cur" en latin qui veut dire pourquoi et "non" qui signifie "pas" .
En 1914 ce pseudo lui vaudra d'ailleurs d'être arreté et incarcéré quelques jours comme "espion russe".
Il écrit dans divers journaux et va devenir entre autre un des "nègre" de Willy, le premier mari de Colette.
Curnonsky est connu pour son appetit et sa taille (1m85 et 120 kgs).

65. Edmond Michelet
la guerre.
http://www.centremichelet.org/edmondmichelet.htm
Edmond Michelet Accueil Contact In english Liens
Edmond Michelet (1899-1970) Edmond Charles Octave Michelet est né à Paris dans le XIX e arrondissement, le 8 octobre 1899. Début 1918, il s'engage volontairement pour la durée de la guerre. Affecté au 126 e régiment d'infanterie de Brive, il découvre la Corrèze et Brive où il se marie. Il milite à l'ACJF (Action catholique de la jeunesse française) dont il devient le président en Béarn puis en Corrèze lorsqu'il se fixe définitivement à Brive en 1925. En 1932, il développe les Equipes sociales, créées par Robert Garric en 1919, dont le but était de faciliter l’ascension professionnelle, intellectuelle et morale de ses membres défavorisés en dehors de toute idée de cloisonnement. Devant la montée du nazisme il crée le Cercle Duguet, un groupe de réflexion qui organise, entre autres, une série de conférences intitulée : « Les dangers qui menacent notre civilisation ». Parmi les titres de celle-ci : « Comment défendre la personne humaine en danger ? », « l’état totalitaire », « le racisme », « l’antisémitisme ». Père de famille, il n'est pas mobilisé en 1939, mais organise le Secours national pour venir en aide aux nombreux réfugiés. Il pose un premier acte de résistance dès juin 1940 en distribuant avec des amis, dans les boîtes aux lettres de Brive, un tract reprenant un texte de Péguy : « celui qui ne se rend pas a raison contre celui qui se rend ». Fin 1940, « Duval », tel est son pseudonyme, organise le groupe « Liberté » qui s'intégra au mouvement « Combat » fin 1941. En 1942, il en devient chef régional puis prend la direction de la région 5 des MUR (Mouvements Unis de la Résistance).

66. Lorraine
Translate this page Verdun à la veille de la guerre / edmond Pionner. - Frémont, 1917 LOR 55 VER.Moselle. Dilange, Nicolas-Louis. Coutumes générales de la ville de Metz et
http://membres.geneaguide.com/bmg/France/lorraine.htm
retour au sommaire Lorraine Pour trouver un auteur ou un mot du titre, taper Ctrl F Cabourdin, Guy.
Lorraine d'hier, Lorraine d'aujourd'hui / Guy Cabourdin, Claude Gérard. - Presses Universitaires de Nancy, 1987
LOR CAB
Fallex, Maurice.
L'Alsace, la Lorraine et les Trois évêchés : du début du XVIIe siècle à 1789 / Maurice Fallex. - Delagrave, 1921
ALS FAL
Georgel, Joseph Alcide.
Armorial historique et généalogique des familles de Lorraine titrées ou confirmées dans leurs titres au XIXe siècle renfermant les titres impériaux et royaux, les pairs héréditaires, les majorats ainsi que les généraux, les préfets et les évêques... / Joseph Alcide Georgel ; grav. Emile Deschamps. - Georgel, 1882
F°A 71
Gérard, Claude.
La Mémoire des lorrains / Claude Gérard ; Jean Lanher. - Presses Universitaires de Nancy, 1984 LOR GER Guilbert, Aristide. Histoire des villes de France avec une introduction générale pour chaque province t. 04 / par M. Aristide Guilbert et une société de membres de l'Institut, de savants... - Paris : Furne et Cie : Perrotin : H. Fournier, 1845 4°A 29 Houpert, Jean.

67. LEBURTON Edmond
Translate this page Photo Institut Jules-Destrée (Droits SOFAM) - edmond Leburton, edmond Leburton Après la guerre, il retrouve son emploi au Ministère puis est nommé
http://www.wallonie-en-ligne.net/1995_Cent_Wallons/Leburton_Edmond.htm
Edmond Leburton Homme politique
Lantremange 18.04.1915 - Waremme 15.06.1997 Ce texte est extrait de l'ouvrage
Cent Wallons du siècle

Institut Jules Destrée,
Charleroi, 1995
Index
Licencié en sciences politiques et sociales de l'ULg (1933-1937), Edmond Leburton est fonctionnaire au Ministère de l'Emploi et des Affaires sociales lorsque la guerre éclate. Mobilisé, prisonnier, il s'évade et entre dans l'Armée secrète, commandant le groupe Otarie . Après la guerre, il retrouve son emploi au Ministère puis est nommé contrôleur principal auprès d'A. Van Acker. Attaché au cabinet de Léon-Eli Troclet, il travaille ainsi avec les deux principaux artisans de la sécurité sociale. Député puis bourgmestre de Waremme, il préside l'Union nationale des Mutualités socialistes (1956). Ministre de la Santé publique (1954), il règlemente le contrôle des industries pharmaceutiques et crée le Fonds national de Recherches médicales (1955). Ministre de la Prévoyance sociale (1961), il restructure l'AMI. La loi Leburton (1963) fixe les honoraires des médecins, instaure un carnet de santé individuel et prévoit des catégories de remboursement suivant le médecin (conventionné, engagé, libre). Opposés à ces principes, des médecins se constituent en chambres syndicales et font une grève qui aboutit aux accords de la Saint-Jean (1964) : la souche fiscale et un comité paritaire (médecins, mutuelles) au sein de l'INAMI sont instaurés. Ministre des Affaires économiques (1968), il promulgue la loi d'expansion économique de 1970 et est confronté au problème des mineurs de Campine.

68. Monographie De Calvignac (Edmond Albe)
Translate this page Monographie de Calvignac (46, Lot) par edmond Albe. Pendant la guerre de Centans, le bourg de Calvignac fut pris plusieurs fois par les Anglais,
http://www.quercy.net/qmedieval/histoire/monog_albe/calvignac.html
Edmond Albe
Les monographies
d'Edmond Albe Quercy Historique Calvignac La seigneurie Autres seigneurs La paroisse La communauté En latin, de Calviniaco , de même Chauvigny en Berry. Il est probable que ce lieu fut habité de très bonne heure : sa position magnifique sur la boucle que décrit le Lot en face de Larnagol et qui permettait à un seul gardien de surveiller la rivière et la plaine en amont et en aval en faisait un point de défense magnifique, beaucoup plus intéressant que Montbrun ou que Cénevières. Je ne parle pas du reste de la commune où l'on trouve de nombreux dolmens, où fut une seconde paroisse, depuis longtemps disparue. La seigneurie On comprend sans peine que le châtelain de Calvignac ait pu être un vicaire du comte de Quercy, un vicomte de Calvignac, non moins important que celui de Saint-Cirq la Popie, mais peut-être d'ailleurs appartenant à la même famille. En effet, l'on trouve, en 1054, un Boson, vicomte à la fois de Saint-Cirq et de Calvignac qui hommage à l'évêque de Cahors pour la vicomté de Brassac. On ne sait ni comment ces vicomtes devaient cet hommage, ni comment ils se trouvaient à la fois châtelains de vicomtés sur le Lot et sur la Dordogne. Ils le seraient devenus comme successeurs de ce vicomte, Frotard, qui donne à l'abbaye d'Aurillac la curtis qui devait devenir le monastère de Souillac avec des possessions qu'il a dans ses vicairies de Creysse, Brassac, Calvignac et saint-Sozi.

69. Monographie De Cénevières (Edmond Albe)
Translate this page Monographie de Cénevières (Lot), par edmond Albe. La guerre de Cent ansdéchaîna dans le pays ses horreurs, et la maison de la Popie,
http://www.quercy.net/qmedieval/histoire/monog_albe/cenevieres.html
Edmond Albe
Les monographies
d'Edmond Albe Quercy Historique Cénevières La paroisse Saint-Clair de Tréligots La seigneurie Le Château ... Communauté Le nom s'écrit aussi Senevieres et Senebières ; et encore Senebrieras. La paroisse Elle est de fondation récente, quelques années avant la Révolution. Mais " hoi erat in votim " ; elle était désirée depuis de longues années, puisqu'elle aurait pris naissance au milieu du XIVè siècle, sans les ravages causés par la longue guerre de Cent ans. En effet, nous savons, par une bulle de Clément VI, que noble homme Bernard de la Popie, damoiseau, coseigneur de Cénvières, avait demandé au Souverain Pontife la permission de bâtir une église paroissiale, avec fonts baptismaux, cloches, clocher et cimetière ; d'acquérir des dîmes pour la doter et fournir ainsi à l'entretien d'un recteur résident, qui aurait soin des âmes. La raison donnée était fort bonne : les habitants sont trop éloignés de l'église paroissiale qui est celle de Saint-Martin Labouval. Ce n'était pas pour lui seul qu'il demandait une telle faveur, car il avait chapelle dans son château, bien entendu. Tout de même, il est intéressé à l'affaire pour l'administration des sacrements.

70. Commandant Edmond Marin-la-Meslée
edmond Marin-la-Meslée aux commandes d un Curtiss Hawk 75.
http://www.defense.gouv.fr/sites/air/actualites_et_dossiers/commandant_edmond_ma
@import url(http://www.defense.gouv.fr/portal_stylesheet.css); @import url(http://www.defense.gouv.fr/stylesheet_generic.css); @import url(http://www.defense.gouv.fr/stylesheet_air.css); Recherche
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Commandant Edmond Marin-la-Meslée
Pilote du groupe 1/5 "Champagne" devant un Curtiss H75. La figure de proue de la bataille de France Base aérienne 112 de Reims, amphithéâtre de l'École de l'air à Salon-de-Provence, quelques rues de villes de garnison. Ces lieux ont en commun de porter un nom tout mouillé d'embruns : Marin-la-Meslée, l'un des plus prestigieux pilotes de l'armée de l'air française de la Seconde Guerre mondiale. L'as aux 20 victoires disparu " en plein ciel de gloire " le 4 février 1945. Neuf-Brisach en Alsace, un village sans histoire qui tient dans trois lignes du Petit Larousse : chef-lieu de canton du Haut-Rhin ; 2 220 habitants ; port sur le grand canal d'Alsace, ancienne place forte de Vauban. Pourtant, en passant près du pont qui enjambe le Rhin, le regard s'évade sur une gigantesque étoile de pierre mesurant 30 mètres de diamètre, perdue au milieu des vignes et des blés. L'une de ses cinq branches est aménagée en tombeau où repose la dépouille d'Edmond Marin-la-Meslée. " Un nom qui claque au vent ainsi qu'un pavillon ", disait de lui Roland Dorgelès de l'académie Goncourt. Ce nom, " qui dut se lancer jadis comme un cri d'abordage ", est celui d'un aviateur dont la carrière tient en quelques semaines de combat. Commencée entre janvier et février 1940, elle se terminera en apothéose, trois mois avant la capitulation allemande du 8 mai 1945.

71. Anovi - XIXe Siècle
Translate this page Palat général Barthélémy-edmond), Bibliographie générale de la Guerre de 1870-1871,Berger-Levrault, 1896, 581 pages. Palat général Barthélémy-edmond),
http://www.19e.org/bibliographie/1870.htm
Le XIX e siècle
Les Bibliographies
LA GUERRE DE 1870 - 1871
Ouvrages généraux
Armée allemande
Armée française
Premières batailles
... France non occupée
Ouvrages généraux :

  • Audoin-Rouzeau (S.), 1870, la France dans la guerre , Paris, Colin, 1989.
    Bleibtreu (Carl), La Légende de Moltke. Contribution critique à l'Histoire de la Guerre de 1870 , Lavauzelle, Paris, 1897, 223 pages. Bourelly (J.), La Guerre de 1870-1871 et le Traité de Francfort , Perrin, Paris, 1912, 221 pages. Canonge (F.), Histoire de l'Invasion allemande en 1870-1871 , Perrin, Fournier, Paris, 1915, 361 pages. Chanal (M.), La guerre de 1870 , Paris, Bordas, 1972. Grouard (A.), Critique stratégique de la Guerre franco-allemande , tome 1, Les Armées en présence , tome 2, Woerth et Forbach , tome 3, L'Invasion 7-12 Août 1870 , Chapelot, Paris, 1905-1908. Guérin (A.), La folle guerre de 1870 , Paris, Hachette, 1970.
    Guillemin (Henri), Cette curieuse Guerre de 1870, Thiers, Trochu, Bazaine , Gallimard, Paris, 1956, 268 pages.

72. Anovi - XIXe Siècle
Translate this page edmond LEBOEUF (Paris, 5 décembre 1809 - Bailleul, 7 juin 1888) A la questionde savoir si l’armée française était prête pour la guerre,
http://www.19e.org/personnages/france/L/leboeuf.htm
Le XIX e siècle
Les Personnages

Edmond LEBOEUF
Paris, 5 décembre 1809 Bailleul 7 juin 1888
Par Brice Leboeuf et Eric Labayle
Edmond Leboeuf est né à Paris le 5 décembre 1809. Son père, Jean-Claude Lebœuf, est alors employé à la grande chancellerie de la Légion d’honneur, où il est chef de bureau dans le service de la comptabilité. Sans doute influencé par l’environnement professionnel de son père et par la légende napoléonienne, le jeune homme se destine très tôt à la carrière des armes et professe un bonapartisme qui, pour n’être pas virulent, n’en est pas moins sincère. Le 1er octobre 1828, il entre à l’École Polytechnique. Il y est encore élève lorsqu’en juillet 1830 a lieu la révolution des Trois Glorieuses . Comme beaucoup d'autres de ses camarades, il descend alors dans la rue et participe à l’insurrection qui entraîne l’abdication de Charles X. Quelques jours plus tard, le 6 août, alors que les clameurs révolutionnaires viennent juste de se taire, il quitte Polytechnique et rejoint l’École d’Application de l’Artillerie, à Metz, où termine sa formation comme sous-lieutenant-élève. Il en sort deux ans plus tard, le 6 août 1832, avec le rang de major de sa promotion.
Nommé lieutenant en premier le 1 er février 1833, il est affecté à la 12ème batterie du 1er régiment d’artillerie, régiment qu’il ne quittera qu’en 1837 avec le grade de capitaine en second, pour rejoindre l’Afrique du Nord. Sitôt arrivé en Algérie, il est affecté à l’état-major de l’artillerie des troupes qui assiègent Constantine. Comme pour beaucoup d’officiers de sa génération, le séjour africain est un véritable tremplin pour la carrière du capitaine lebœuf. Le 23 février 1838, il est ainsi nommé officier d’ordonnance du maréchal Valée, alors gouverneur général de l’Algérie et grand nom de l’artillerie française. Le 14 mai 1839, il est blessé lors du combat de Djidjeli.

73. Archives
edmond Jouve, président du conseil dedirection Lors de la guerre contre l Irak, ils se sont avant tout défendus.
http://permanent.nouvelobs.com/etranger/20050809.OBS5945.html
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Sur le site Sur le web
NUCLEAIRE "L'Iran est un Etat qui dérange" par Edmond Jouve,
président du conseil de direction
du Centre d'études diplomatiques et stratégiques (CEDS),
professeur de relations internationales à Paris-V
L'Iran assure qu'il veut utiliser le nucléaire à des fins civiles et non en vue de fabriquer la bombe atomique. Pourquoi les Européens craignent-ils que ces activités ne dissimulent une mise au point de l'arme nucléaire ?
Par ailleurs, les Iraniens ont assuré qu'ils étaient pour le "dialogue des cultures" et qu'ils ne voulaient pas la guerre. C'est leur parole contre celle des Européens. Evidemment, à partir du nucléaire civil, il est facile de fabriquer l'arme nucléaire. Mais c'est une question de confiance. Personnellement, je ne crois pas qu'il y ait un danger véritable. L'Iran est un peuple fier mais il ne s'est pas montré particulièrement belliqueux ces derniers temps. Lors de la guerre contre l'Irak, ils se sont avant tout défendus.
Mais l'Iran est un Etat qui dérange, notamment parce que c'est une République islamique. Depuis le 11 septembre, toute relation avec l'islamisme devient suspecte.

74. Benitsa_edmond
Translate this page Survient la guerre edmond Benitsa, alors en garnison à Meknès, part au frontavec son groupe dès les premiers jours. Toutes les missions, que rend si
http://www.lyceefr.org/aaegd/gouraud/livredor/benitsa_edmond.htm
BENITSA EDMOND Né le 21 juillet 1917 à Constantine, Edmond Benitsa commence ses études au lycée Gouraud, les poursuit à l'Ecole industrielle de Casablanca où il obtient le brevet d'enseignement technique et revient enfin les terminer au lycée Gouraud. Studieux et énergique, il a, au cours de cette scolarité, affirmé déjà sa ferme volonté de s'élever par son travail, d'être quelqu'un. Dès sa sortie du lycée, son choix est fait : l'aviation le fascine, il veut être pilote et prépare le concours d'entrée à l'Ecole de pilotage de Bourges : admis le 22 avril 1930, il en sort n° 1 er Survient la guerre : Edmond Benitsa, alors en garnison à Meknès, part au front avec son groupe dès les premiers jours. Toutes les missions, que rend si périlleuses la suprématie aérienne de l'ennemi, le trouvent volontaire. Modeste et pensant ne faire ainsi que son devoir, il ne brigue d'ailleurs aucune récompense officielle. Ce jour arrive enfin : dès le débarquement allié, Edmond Benitsa, débordant d'enthousiasme, demande aussitôt à reprendre sa place en escadrille, brûlant du désir de chasser l'envahisseur. Il revient au Maroc avec son groupe. Les années d'éviction et la modernisation des appareils l'obligent, comme ses camarades, à suivre un stage de perfectionnement au centre d'instruction de Marrakech. Hélas ! quelques jours avant le départ qui le mettra de nouveau en face des hordes hitlériennes, l'adjudant pilote Edmond Benitsa tombe le 8 août 1944 au cours d'un vol de nuit.

75. EDITIONS ERES - Les Sciences Humaines Et Les Pratiques Qui S'en Inspirent
la guerre Numéro 7 Sud/Nord - Folies et cultures (Revue) dirigée parSébastien Giudicelli, Michel Minard et edmond Perrier
http://www.edition-eres.com/resultat.php?Id=726

76. Anovi - Première Guerre Mondiale
Translate this page Il va sans dire que cette belle ordonnance sera perturbée par la guerre.edmond Descarsin, pour sa part, a été renvoyé dans ses foyers en octobre 1913 après
http://www.grande-guerre.org/Documents/Descarsin7.htm
La Grande Guerre
Les documents

Documents personnels d'Edmond Descarsin
Service actif
Cette page a été remplie à l'occasion des formalités d'incorporation du conscrit Descarsin, le 1 er octobre 1911. Elle mentionne les durées légales de chacune des périodes qui constituent le service militaire d'un citoyen français. Il va sans dire que cette belle ordonnance sera perturbée par la guerre. Edmond Descarsin, pour sa part, a été renvoyé dans ses foyers en octobre 1913 après deux ans, un mois et sept jours de service actif. Dix mois plus tard, il devait reprendre l'uniforme. Définitivement.
Les documents d'Edmond Descarsin

© Anovi - Alain Labruyère - 2002

77. Sylvie Thénault
Translate this page La guerre d’Algérie » in Dictionnaire critique de la République, Vincent Duclert edmond Michelet et les institutions judiciaires en Algérie », in edmond
http://www.ihtp.cnrs.fr/equipe/thenault.html
Your browser does not support script ihtp-cnrs 94235 Cachan Cedex tel : 01 47 40 68 08 fax : 01 47 40 68 03 thenault@ihtp.cnrs.fr
- Histoire de la justice et de l'internement
Bibliographie
LIVRE Flammarion
DIRECTION DE PUBLICATION COLLECTIVE
En collaboration avec Raphaëlle Branche et Anne-Marie Pathé « Répression, contrôle et encadrement dans le monde colonial au XXe siècle Bulletin de l’IHTP n°83, 1 er semestre 2004.
CONTRIBUTION A DES OUVRAGES COLLECTIFS
« La gauche et la décolonisation », in Histoire des gauches en France , Tome II, XXe siècle, à l’épreuve de l’histoire , Gilles Candar et Jean-Jacques Becker (dir.), Paris, La Découverte, 2004, pp. 435-451. « La justice dans la guerre d’Algérie » in La guerre d’Algérie, 1954-2004, la fin de l’amnésie , Mohammed Harbi et Benjamin Stora (dir.), Paris, Robert Laffont, 2004, pp. 77-96. Rapport sur les camps de regroupement , Mille et une nuits, 2003, pp. 103-153. Rapport sur les camps de regroupement , Mille et une nuits, 2003, pp.227-238.

78. Michelet
la guerre 14-18. edmond Michelet est emmené à la prison de Fresnes où il mène une vie
http://perso.wanadoo.fr/college.marmontel/Michelet.html
EDMOND MICHELET
Ses origines Ses engagements politiques avant 39/45 Bibliographie Ses origines 8 Octobre 1899 4 Juin 1911
Ses engagements politiques avant 39/45 en 1925
En 1932 en 1919 Sommaire le Secours National
Avec des amis, il fait circuler un tract dans Brive le 17 Juin 1940
il devient alors RESISTANT.
En 1940
Puis, le 15 septembre 1943
17 juin 1940
20 juin 1940
Avant le 3 Juillet 1940 Automne 1940 Automne 1941 Juin 1942 Juin 1942 : perquisition au domicile d'Edmond Michelet par la police de Vichy. Fin 1942 : naissance des premiers maquis sur tout l' arrondissement de Brive. Mars 1943 15 sept. 1943 Sommaire 27 mai 1945 et devient en 1958. Texte dessous la photo Ministre des Anciens Combattants en Juin 1958 jusqu'en janvier 1959. Il sera par la suite Ministre de la Justice Garde des sceaux Ministre de la Fonction publique Ministre des Affaires Culturelles Sommaire Service Educatif par le Rectorat de Limoges en partenariat avec la mairie de Brive afin d'aider les enseignants dans le cadre des programmes scolaires d' Histoire et d' Education civique.

79. Rosay Sur Lieure Durant La Guerre 14-18
Translate this page edmond SAINT MARTIN, gérant du moulin de Rosay, est le principal Croquis réaliséen 1915 durant la guerre des tranchées par son caporal, Lanoux.
http://perso.wanadoo.fr/serge.ollivier/guerre14.htm
Edmond BEAUCLE
maire de Rosay entre 40-42 et 44-47
Maxime DESHAYES
Georges DELACOUR
Gustave PARIS
Roger PICARD Trois des cinq enfants de Louis DELACOUR
Georges
Louis
Edouard
(on disait domestique en 14) (voir ci-dessus, l'anecdote).
Le beau-frère d'Arsène, Louis Mutel sera gazé à Salonique. Il mourra dans les années 40 des suites de ce gazage. Son épouse, Aimée, est la soeur d'Arsène. Elle faisait partie des "Dames de Rosay" et figure sur le cliché de 1973.
Emile LAVALLEE mort au front, fils unique du maire LAVALLEE Auguste, Albert, Emile, Jules ce n'est qu'un au revoir Gustave PARIS Roger PICARD Joseph QUEUDRAY Narcisse FORTIER Lucien PICARD Prisonnier en Allemagne Narcisse FORTIER Fait prisonnier, il est libéré quelques jours plus tard lors d'une contre-attaque française. A Foch qui lui demande " tu n'as pas trahi ton pays, Fortier?", il répondra fièrement: "non, mon général" Lucien PARRAVEZ Nom prénoms / date de naissance / lieu de naissance AUTIN Arsène BAUCHE Alphonse BEAUCLE Désiré BEAUCLE Edmond Honoré 03-03-1884 Rosay BELLAMY Raymond Anatole 22-08-1884 Grainville BENARD Jules Henri 19-02-1885 Menesqueville BLAINVILLE Théodule BLONDEL Albert BOUCHER Henri Emile 16-05-1892 Mesnil-Lieubray BOULANGER Antime Charles 04-12-1886 Rosay CELLIER Henri

80. Le Web De L’Humanité: Le Cercle Des écrivains Disparus D’Edmond Ch
ce qui lui valu l’ire de l’OAS. On tira sur moi, ma librairie fut
http://www.humanite.presse.fr/journal/2000-08-14/2000-08-14-229885
samedi 3 septembre 2005 on error resume next If MSDetect = "true" Then If Not(IsObject(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash"))) Then flashinstalled = 1 Else flashinstalled = 2 End If End If on error resume next If MSDetect = "true" Then If Not(IsObject(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash"))) Then flashinstalled = 1 Else flashinstalled = 2 End If End If
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Musique dans les prés à la Villette
LOCARNO RECOMPENSE BABA
Dans la rubrique Cultures aujourd'hui

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